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Il n'y a pas de vent....
Il n'y a pas de vent sur ma nuit
Juste les larmes de la pluie
Le froid qui mordille les arbres
Sous ce long châle bleu noir
Il n'y a pas de mots sur ma vie
Juste des silences tout blancs
Des errances,des pas hésitants
Des chemins qui se perdent parfois
Il n'y a pas de terre lumière
Juste des fragments d'innocence
Des rencontres toujours éphémères
Des soupirs enfouis dès l'enfance
Il n'y a pas de pleurs sur ma nuit
Juste quelques notes froissées
Des élans de vie réprimés
Et la quête du verbe "aimer".
balaline décembre 2009
Merci pour tous vos petits mots; je vous quitte pour un autre ailleurs, sans connexion.Prenez soin de vous, à bientôt, balaline.
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Commentaires
Va où la Vie te mène, ne réprime plus tes élans, sois heureuse, et surtout reviens vers nous car on aime ta poésie et Toi aussi à cette occasion ...
Salut, je suis tombée sur ton blog en parcourant les articles de Papier libre, très joli poème ! C'est à la fois simple et agréable.
Balaline, tes mots m'allaient toujours droit au coeur...J'ai regretté ton absence sur Overblog. Je vais penser à toi et t'envoyer toutes mes pensées positives.
N'oublie pas, la vie est plus forte que tout.
Tu as écrit cela en 2009.... j'espère que où que tu ailles, dans cet ailleur sans connexion qui me fait un peu peur, tu seras bien.
Je t'embrasse fort.
Prends bien soin de toi...
j'imagine cet ailleurs...
Un ailleurs que j'aimerai,
Balaline,
sur les pentes de Lhers, un jour,
j'ailmerai te rencontrer...
La quête du verbe aimer est sans doute celle de chacun d'entre nous... Que faire sans amour ni amitié... Car l'amitié compte aussi...
Chère Balaline tu trouves toujours des mots doux qui savent émouvoir. J'espère que tu reviendras vite nous offrir d'autres jolis textes. Fais bien attention à toi et n'oublie pas que, même virtuelle, l'amitié des copinautes est réelle. Tu peux compter sur nous.
Reviens vite, ne reste pas trop longtemps dans cet ailleurs sans connexion...
Gros bisous à toi
La connexion la plus importante se trouve à l'intérieur de toi et si elle est parfois brouillée, tu ne peux jamais la perdre, car elle vit en toi. Tu es le brouillard et tu es la lumière, tu es l'errance et tu es la boussole, tu es l'énigme et tu es la réponse... la réponse à ta propre question.
Où que tu ailles, qu'il y ait des étoiles pour éclairer ton ailleurs.
J'espère que dans cet autre ailleurs, tu trouveras à conjuguer le verbe aimer à tous les temps ainsi que son pendant "être aimé".
En tous cas, comme nombre de tes visiteurs et amis, j'aime ta poésie et tes mots que tu m'offres de temps en temps me vont toujours à ravir !
Prends ton temps et reviens-nous avec une moisson de mots ciselés comme des bijoux : reviens heureuse et confiante dans la vie.
A bientôt
13sagahan/audreySamedi 6 Septembre 2014 à 17:32bonsoir, encore un beau poème !
merci !
mais qu'est ce qu'une terre de lumière ? est ce qu'en la parcourant on est forcément heureux ??
A bientôt
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C'est très beau ! Comme à chaque fois j'aime beaucoup... Prends soin de toi également, Balaline.