• Les galets d'or



    Biscarosse-plage le 18 janvier 2010 012


    Je suis trop triste pour pleurer

    Juste regarder les galets d'or
    Les témoignages de la vie
    D'avant
    Avant le grand silence blanc

    Ma mer agitée apaisée
    Des brins d'amour m'a laissés
    Des petits bonheurs à récolter
    De grands trésors à préserver

    Je suis trop triste pour pleurer


    Balaline











  • Commentaires

    1
    Lundi 8 Février 2010 à 20:35
    La mer est allée et venue...

    Entre les deux, ces galets...

    Et cette tristesse immense.

    Et si je te demandais "que s'est-il passé ?"
    Pourrais-tu répondre ?
    2
    Lundi 8 Février 2010 à 21:31

    Bonsoir Balaline. J'ai un peu peur que ce texte soit le reflet de tes sentiments... Peut-on écrire de si jolis mots -quoique déchirants- si le coeur ne souffre pas...?
    J'espère que cette tristesse qui t'envahit sera bientôt remplacée par un apaisement salvateur.
    Ton image de la plage est très belle et ton texte très fort.
    Gros bisous à toi ! 

    3
    ABC
    Lundi 8 Février 2010 à 21:32
    La mer reviendra
    un jour sur ces pas
    Saura-t-elle effacer le chagrin
    Que le silence a laissé dans tes mains ?

    4
    Lundi 8 Février 2010 à 22:43
    Fragments de vie épars
    Là sur le sable mouillé
    Du bonheur hier sans fard
    S'en souvenir, jamais l'oublier

    Oppression cruelle de l'absence
    Le souvenir est trop fort
    Il renaît dans ces galets d'or
    Mais que me vaut ce trésor
    Sans ta douce présence

    Mais je me dois aussi d'être fort
    De gagner un nouveau port
    Et dans ces brins d'amour
    Que la marée a découverts
    Je me plais à lire ce que j'espère
    Demain sera un autre jour...

    Ton texte est très fort balaline
    Toutes mes amitiés.

    Jacques
    5
    Lundi 8 Février 2010 à 23:04
    le galet s'arrondit de vagues douces ...
    6
    Mardi 9 Février 2010 à 08:39

    Des galets bien beaux...et des mots bien tristes
     Bisous à toi

    7
    Mardi 9 Février 2010 à 09:13
    La mer, sans arrêt, roulait ses galets, et c'était comme si tout recommençait ...
    8
    Mardi 9 Février 2010 à 10:25
    Triste ton poème, tristes tes mots... triste comme la couleur du temps lorsque la mélancolie nous envahie et que tout chavire, comme emportés par la vague du souvenir...

    9
    Mardi 9 Février 2010 à 10:55
    C’est la vie la marée vient, repart, revient éternelle   
    Cordialement
    10
    Mardi 9 Février 2010 à 12:05
    C'est jusqu'au bout de la nuit que l'on voit poindre l'aurore
    et c'est du ventre obscur de la terre que germe le fruit.
    Le don de la nuit t'est peut-être plus propice que celui de la lumière.

    Faouzi Skali

    "Vraiment riche est celui qui porte dans son âme plus de rêves 
    que la réalité n'en peut détruire." 
    (Hans KRUPPA)

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    11
    Mardi 9 Février 2010 à 16:10
    J'aime tes mots...Enormement...
    12
    Mardi 9 Février 2010 à 17:05
    Baladine

    Je connais trop c'est état...

    Mes larmes ne veulent pas couler
    Coincées entre sanglots et angoisses
    Je voudrais tant pouvoir éclater
    Comme un ballon, une baudruche
    Ou tout sécoulerait comme un torrent
    Mais voilà mes yeux ne veulent pas
    Eclabousser toute mon histoire.

    BALADINE un bel écrit qui m'a embarquer bises
    13
    Mercredi 10 Février 2010 à 10:29
    laisse la mer noyer ta tristesse.
    14
    Mercredi 10 Février 2010 à 15:42
    Merci Balaline pour ce bel instant de poésie...
    Bonne journée à toi :-)
    15
    Mercredi 10 Février 2010 à 18:45
    Avec ta tristesse, tu sais nous rejoindre, profondément. Et ... Si tu pleurais, justement ?! Douce amitié.
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    16
    Mercredi 10 Février 2010 à 21:20
    J'aimerais tant que tu sois moins triste...Savoir ce qui te met dans un tel état...Et pouvoir adoucir un peu ton coeur...Toi que je ne connais qu'à peine mais amie par les mots...
    Tu ais, ta photo me fait penser à un tissu, un tissu de sable...
    17
    Mercredi 10 Février 2010 à 21:21
    Tu sais, j'ai été trop vite...
    18
    Jeudi 11 Février 2010 à 21:30
    Les pieds nus sur la dune à ne garder que le précieux...
    19
    Vendredi 12 Février 2010 à 15:17
    Et peut-on être trop joyeux pour rire ?
    20
    Vendredi 12 Février 2010 à 21:22
    ... Très beau, sobre, efficace, plein de sensibilité.
    Bises.
    Mauve
    21
    Samedi 13 Février 2010 à 20:14
    j'adore ces petits coauillages et j'espère que leur belle lumière pourra apaiser tes douleurs si elles sont actuelles !
    22
    Jeudi 18 Février 2010 à 16:14
    Je vois tes larmes cristal dans les reflets d'or de ces galets, quelle pureté.
    Douce journée.
    23
    Dimanche 21 Février 2010 à 21:32
    des petits bonheurs, des brins d'amour... tant de petites joies passées, effacées, que l'on aimerait retenir, en un souffle...., ne reste parfois que des larmes retenues...
    24
    chris
    Samedi 6 Septembre 2014 à 17:33
    quand une vague meurt l'écume se fond dans la sable et retourne à l'océan pour une autre vague...et un jour l'une d'entre elles ne déferle que dans un coeur...
    25
    Mona
    Samedi 6 Septembre 2014 à 17:33
    Sable qui pleure et qui chante
    sous le vol de la mouette
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