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Les galets d'or
Je suis trop triste pour pleurer
Juste regarder les galets d'or
Les témoignages de la vie
D'avant
Avant le grand silence blanc
Ma mer agitée apaisée
Des brins d'amour m'a laissés
Des petits bonheurs à récolter
De grands trésors à préserver
Je suis trop triste pour pleurer
Balaline
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Commentaires
Bonsoir Balaline. J'ai un peu peur que ce texte soit le reflet de tes sentiments... Peut-on écrire de si jolis mots -quoique déchirants- si le coeur ne souffre pas...?
J'espère que cette tristesse qui t'envahit sera bientôt remplacée par un apaisement salvateur.
Ton image de la plage est très belle et ton texte très fort.
Gros bisous à toi !La mer reviendra
un jour sur ces pas
Saura-t-elle effacer le chagrin
Que le silence a laissé dans tes mains ?
Fragments de vie épars
Là sur le sable mouillé
Du bonheur hier sans fard
S'en souvenir, jamais l'oublier
Oppression cruelle de l'absence
Le souvenir est trop fort
Il renaît dans ces galets d'or
Mais que me vaut ce trésor
Sans ta douce présence
Mais je me dois aussi d'être fort
De gagner un nouveau port
Et dans ces brins d'amour
Que la marée a découverts
Je me plais à lire ce que j'espère
Demain sera un autre jour...
Ton texte est très fort balaline
Toutes mes amitiés.
JacquesLa mer, sans arrêt, roulait ses galets, et c'était comme si tout recommençait ...Triste ton poème, tristes tes mots... triste comme la couleur du temps lorsque la mélancolie nous envahie et que tout chavire, comme emportés par la vague du souvenir...
C'est jusqu'au bout de la nuit que l'on voit poindre l'aurore
et c'est du ventre obscur de la terre que germe le fruit.
Le don de la nuit t'est peut-être plus propice que celui de la lumière.
Faouzi Skali
"Vraiment riche est celui qui porte dans son âme plus de rêves
que la réalité n'en peut détruire."
(Hans KRUPPA)
Baladine
Je connais trop c'est état...
Mes larmes ne veulent pas couler
Coincées entre sanglots et angoisses
Je voudrais tant pouvoir éclater
Comme un ballon, une baudruche
Ou tout sécoulerait comme un torrent
Mais voilà mes yeux ne veulent pas
Eclabousser toute mon histoire.
BALADINE un bel écrit qui m'a embarquer bisesAvec ta tristesse, tu sais nous rejoindre, profondément. Et ... Si tu pleurais, justement ?! Douce amitié.J'aimerais tant que tu sois moins triste...Savoir ce qui te met dans un tel état...Et pouvoir adoucir un peu ton coeur...Toi que je ne connais qu'à peine mais amie par les mots...
Tu ais, ta photo me fait penser à un tissu, un tissu de sable...Tu sais, j'ai été trop vite...Les pieds nus sur la dune à ne garder que le précieux...Et peut-on être trop joyeux pour rire ?j'adore ces petits coauillages et j'espère que leur belle lumière pourra apaiser tes douleurs si elles sont actuelles !Je vois tes larmes cristal dans les reflets d'or de ces galets, quelle pureté.
Douce journée.des petits bonheurs, des brins d'amour... tant de petites joies passées, effacées, que l'on aimerait retenir, en un souffle...., ne reste parfois que des larmes retenues...24chrisSamedi 6 Septembre 2014 à 17:33quand une vague meurt l'écume se fond dans la sable et retourne à l'océan pour une autre vague...et un jour l'une d'entre elles ne déferle que dans un coeur...25MonaSamedi 6 Septembre 2014 à 17:33
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Entre les deux, ces galets...
Et cette tristesse immense.
Et si je te demandais "que s'est-il passé ?"
Pourrais-tu répondre ?