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Ô mer
Je t'aime impétueuse et fougueuse
Quand ton coeur bat à mille cent
Ca cogne fort, ça tintamarre
Car tu lessives le mal ambiant.
De grands galops fendent tes flancs
Quand tu extirpes tes rancoeurs
Tes chevaux blancs se noient d'écume
Ils pleurent les douceurs de l'amour.
C'est bien ton cri toujours puissant
Une complainte si amère
Celle de tous les hommes en colère.
Je voudrais juste un peu de paix
Doucement m'allonger sur la grève
Délayer les tourments de nos vies
Avec la vague qui s'enfuit s'enfuit...
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Commentaires
Comme j'aimerai cette paix du coeur
que tu appelles si souvent dans tes textes...
Que la mer houleuse devienne étale
que les montagnes t'offrent leur sérénité
Adichat amiga mia
La mer dans son immensité connait aussi tous les tourments de l'univers, mais elle reste imperturbable et impressionnante !
Merci Quichottine qui ne m'oublie jamais; la vie est souvent comme la mer,tantôt cruelle et agitée avec parfois quelques trouées de bleu. Je garde ce bleu profond pour les jours sombres.
Merci pour tout,
BalalineTu as raison, je vais fuir vers nos montagnes, respirer à fond la pureté du jour, m'endormir au soleil et oublier le monde.
Mais j'aurai bien sûr plein de pensées pour toi, dans ce petit coin qui est aussi le tien.Elle recommence chaque jour une autre vie, elle efface tout, bonheurs et laideurs, le gris et le bleu.
10sagahanSamedi 6 Septembre 2014 à 17:32
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J'aime le rôle que tu lui donnes... laissons partir nos tourments avec la vague qui s'enfuit... et ne gardons que ce sourire que je t'envoie du bout des doigts.
Passe une belle soirée, Balaline.
Merci !