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Saisir
Saisir, saisir le soir, la pomme et la statue,
Saisir l'ombre et le mur et le bout de la rue.
Saisir le pied, le cou de la femme couchée
Et puis ouvrir les mains. Combien d'oiseaux lachés
Combien d'oiseaux perdus qui deviennent la rue
L'arbre, le mur , le soir , la pomme et la statue !
Jules Supervielle
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Commentaires
1christelMercredi 25 Octobre 2006 à 08:05Plein de sensations... de chaud , de froid , de doux .... toutes les subtilités du toucher dans les mots ... bravo Jules!!! bonne journée à toi , bisous, christelRépondreBisous du matin... deuxième tournée !!! qui n'en veut ? !!! haha!!!ouvrir ses mains et son coeur ! ...et surtout ses tripes et que de choses nouvelles nous apparaissent
Bises
Gérard
Bonsoir Balaline... Je viens enfin te faire un tit coucou du soir... Mon entretien s'est bien passé, mais la personne a tiqué sur le fait que je n'ai pas d'expérience de ce métier... lol, c'était quand même pour cette raison que j'étais là-bas !!! Il faut que j'attende une dizaine de jours le résultat... !!! Patience, alors ! Gros bisous et une bonne nuit douce de rêves...Balaline s'en va, Balaline s'en revient... Balaline se balade... Rires... Comme tu as raison et comme tu fais bien...! Je te remercie infiniment pour ton gentil message et je te souhaite de merveilleux jours... là où tu seras... Gros bisous... et demain existe puisqu'on en parle... donc on n'aura pas à se quitter, lol... Bisous...Excellent ce poème, je l'avais jamais entendu... Il dégage beaucoup de lui, beaucoup d'émotions...10mahinaSamedi 6 Septembre 2014 à 17:4311MonaSamedi 6 Septembre 2014 à 17:43Douceur, douleur de la séparation, de l'abandon, du souvenir ... Bon après-midi, Balaline
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